Intervista a Marianne Catzaras, dalla mostra livornese "Oltre il velo"
Scritto da Ilaria Guidantoni Domenica, 28 Agosto 2016
Abbiamo incontrato la curatrice della mostra recensita di recente su SaltinAria e aperta fino al 14 agosto alla Fortezza Nuova a Livorno, sul tema del corpo femminile e dello sguardo femminile sulla corporeità. L'intervista si è svolta in francese e abbiamo deciso di lasciarla nella lingua originale.
Quelle est l'idée de l'expo et d'où vient?
«Cette exposition a vu le jour après une invitation l'année dernière au festival “Terra e mare" de Livourne où j'ai été invitée à parler de mon travail d'auteur. Ensuite les organisateurs m'ont proposé une exposition personelle alors que j'ai dit que je preferais que l'on donne carte blanche a la Tunisie et puis les choses se sont mises en place naturellement. Après quelques reunions avec l'ancien charge à la culture Serafino Fasulo et la table photographique qui a pour coordoonateur Alessandro Paron mais ils avaient pour priorité de donner la parole aux femmes tunisiennes artistes avec la problematique du voile. Je n'ai pas l'habitude d'enfermer les manifestations dans des categories identitaires et encore moins de repondre aux thematiques qui sembleraient demagogiques repetitives et souvent creuses mais la parole de femme a tout son sens en Tunisie et dans le monde arabe aujourdhui donc j'ai repondu a Livourne avec interêt.»
«Cette exposition a vu le jour après une invitation l'année dernière au festival “Terra e mare" de Livourne où j'ai été invitée à parler de mon travail d'auteur. Ensuite les organisateurs m'ont proposé une exposition personelle alors que j'ai dit que je preferais que l'on donne carte blanche a la Tunisie et puis les choses se sont mises en place naturellement. Après quelques reunions avec l'ancien charge à la culture Serafino Fasulo et la table photographique qui a pour coordoonateur Alessandro Paron mais ils avaient pour priorité de donner la parole aux femmes tunisiennes artistes avec la problematique du voile. Je n'ai pas l'habitude d'enfermer les manifestations dans des categories identitaires et encore moins de repondre aux thematiques qui sembleraient demagogiques repetitives et souvent creuses mais la parole de femme a tout son sens en Tunisie et dans le monde arabe aujourdhui donc j'ai repondu a Livourne avec interêt.»
Per una lettura completa dell'articolo: http://www.saltinaria.it/